Jeu de soumission

Catégories : Femmes soumises SM camisole Bondage Shibari Kinbaku
il y a 9 ans

Je m'appelle Stéphanie, j'ai 25 ans et je suis célibataire depuis ... depuis toujours en fait.

Je ne suis pas un standard de beauté mannequin et je complexe beaucoup par rapport à mes rondeurs. Malgré le fait qu'on m'ait déjà dis que j'étais très jolie.

Et ma période "Gothique" pendant l'adolescence ne m'a pas non plus beaucoup aidée, habitant dans une petite ville de campagne en Bretagne, où la différence n'est pas bien perçue.

Tout ça pour dire que 25 ans de plaisir solitaire commence à faire long. J'ai besoin de plus que ça, mais je ne suis pas non plus désespérée au point de sauter sur le premier qui se présentera.

Un jour, en défilant mon fil d'actualité sur mon blog, je suis tombée sur une image qu'un ami à moi avait aimé et commenté.

Il s'agissait d'une femme, attachée avec des cordes. Du bondage. Je connaissais déjà le concept, mais je ne m'y étais jamais vraiment intéressée. Mais je trouvais cette photo très belle, et l'idée d'être attachée de la sorte ne me laissait pas indifférente.

J'ai donc fais quelques "recherches" à ce sujet, et voyant mon intérêt grandissant, je suis rentrée dans un groupe sur Mon blog. Ça m'a permis de parler avec des personnes pratiquant le bondage, tout aussi bien des dominants que des soumis.

Le petit monde du BDSM m'attirait de plus en plus, être attachée, ne plus rien contrôler, devoir faire une confiance aveugle envers le/la dominant(e), lâcher prise et prendre du plaisir. Tout ça est très tentant. Mais malgré le fait d'être totalement novice dans le domaine, j'avais des limites, je savais d'avance que la douleur trop prononcée ne m'intéressait et ne m'excitait pas du tout. L'humiliation non plus, j'avais un minimum d'estime pour moi-même, je ne me mettrais pas à quatre pattes et ne me ferais pas promener comme on promène sa chienne, je refuserais catégoriquement. Mais mis à part ça, je suis ouverte aux nouvelles expériences.

Un jour, je reçus une demande d'ajout en ami sur Mon blog. Le nom de la personne était un pseudonyme et sa photo n'indiquant pas grand chose quant à son identité. C'est pourquoi, avant de l'ajouter, je lui demandais comment il avait trouvé mon profil et pourquoi cet ajout. Presque immédiatement il me répondit.

  • Bonsoir, j'ai remarqué que nous faisions parti d'un même groupe, donc nous partageons certains mêmes intérêts. Je me suis permis de t'ajouter pour que nous puissions faire connaissance, si tu le veux bien. Je te trouve très charmante.

Il n'était pas difficile de savoir de quel groupe il parlait du fait que je n'en faisais parti que d'un seul. Intriguée par son initiative, j'acceptais. Il s'avère qu'il s'appelle Thomas, qu'il a 27 ans et est passionné par le monde du bondage depuis pratiquement 10 ans. C'est un dominant, mais il n'a encore jamais été avec une fille acceptant d'être attachée et soumise.

Au début on se parlait de temps en temps, essentiellement de bondage, et plus les mois passaient, plus on apprenait à se connaître. On discutait presque tous les soirs, de tout et de rien, le courant passait vraiment bien entre nous.

On avait échangé nos numéros, on s'envoyait même quelques fois des photos coquines. Puis un jour, il m'a clairement fait comprendre, qu'il avait envie de me voir, qu'il en avait marre de cette relation virtuelle. C'était réciproque, j'avais moi aussi envie d'aller plus loin, mais j'étais déchirée de l'intérieur par rapport à mon complexe physique.

Toutes les filles que j'ai pu voir attachées avaient des corps sublimes, j'avais un peu peur de me montrer telle que j'étais comme ça. Mais l'envie était trop grande, c'est pourquoi, je décidais de sauter le pas et de le rejoindre dans sa ville, à Nantes, le week-end qui arrivait.

La semaine parut durer une éternité. Le vendredi en fin d'après midi, je pris la route, direction Nantes. C'est une ville que je connais bien, y ayant habité pendant deux ans. On s'était donné rendez-vous en plein centre ville. Devant un restaurant Japonais/Coréen, le "Asahi". En plus de notre attrait du bondage, nous nous étions découverts de multiples points communs dont une passion pour la culture Japonaise.

Approchant du restaurant, je l'ai tout de suite reconnu parmi les quelques personnes qui attendaient de pouvoir entrer. Un grand brun, les cheveux mi-longs portant un jean bleu clair et un perfecto en cuir noir. Simple, mais il était tellement sexy. Il m'aperçut et se dirigea vers moi. Son sourire était à couper le souffle.

Une fois la gêne des premiers instants dépassée, le repas se déroula très bien et la complicité que nous avions lors de nos échanges sur internet ou par téléphone ne tarda pas à revenir.

Une fois sortis, nous marchâmes dans les rues illuminées de la ville en parlant de tout et de rien. Arrivé devant sa moto, il m'invita à aller chez lui. Car lui comme moi, savions exactement pour quelle raison j'étais venue. Rien que le fait de le voir monter sur sa moto, enfiler son casque et me faire un clin d’œil, je commençais déjà à être excitée.

Arrivé chez lui, la tension était remontée. C'était la première fois qu'il allait pouvoir attacher et dominer quelqu'un, et il savait qu'en plus de ça, pour ma part, ça serait la première fois que je coucherais avec une homme. Nous restions là, l'un face à l'autre dans son salon. Ne sachant pas trop comment nous y prendre l'un comme l'autre. C'était plutôt gênant.

Puis je lui demandais si je pouvais aller prendre une douche avant de faire quoi que ce soit. Bien sûr il accepta, cela nous permettrait de mieux nous préparer à ce qui allait suivre.

Je restais un moment sous le jet puissant d'eau bien chaude, et ne pensais plus à rien. Seul le bruit et la sensation de l'eau parcourant mon corps importait. Quand une questions me vint en tête. Comment est ce que je devais sortir de la salle de bain? Habillée, nue, en sous-vêtements? Ne le sachant pas, je décidais de porter son peignoir en étant nue dessous.

Je me dirigeais timidement vers le salon. Il était là, debout, face à la baie vitrée qui donnait vers le balcon. Lui était plus ou moins habillé, il portait toujours son superbe jean, mais il s'était mis torse nu. Il ne m'avait pas entendue arriver, je me raclais légèrement la gorge et il se retourna.

  • Je suis désolée, j'ai pris ton peignoir, je ne savais pas comment je devais me présenter à toi.

  • Il n'y a aucun problème, dit-il en s'approchant.

Il s'arrêta face à moi, si près, que je pouvais sentir son souffle sur mon visage. Son corps entier est un appel au v i o l, il est bien bâti, ses muscles joliment sculptés sans être trop musclé pour autant. Mais surtout, il a ce petit truc qui me fait complètement craquer, la veine humérale qui ressort légèrement de son bras. Je trouve ça, terriblement sexy. Il prit le col du peignoir et dégagea lentement mes épaules. C'est à ce moment qu'il compris que j'étais nue dessous. Il esquissa un léger sourire et plongea son regard dans le mien. Un frisson parcouru mon corps, mélange d'appréhension et de désir. Ses yeux sont si beaux, un bleu clair d'une incroyable intensité.

  • Tu trembles, tu as peur?

  • Oui, un petit peu. Enfin non, ce n'est pas de la peur, c'est juste que ...

  • Ne t'en fais pas, me coupa t-il. Je serais doux, si à un moment, peu importe quand, tu trouves que ça ne va pas ou que tu te sens mal, dis le moi ou fais le moi savoir, et on arrête tout de suite. Tiens, je te donne ce trousseau de clé, si tu veux stopper, tu n'as qu'à le jeter par terre.

  • D'accord, dis-je en le prenant et en baissant les yeux.

  • N'oublies pas que c'est ma première fois dans ce domaine à moi aussi. Je veux que nous en gardions un bon souvenir tous les deux, ajouta t-il en me faisant relever la tête pour que je le regarde. Son sourire est magnifique.

Il abaissa son regard sur ma poitrine encore couverte par le peignoir. Il vint la découvrir, lentement, en prenant soin de l'effleurer du bout des doigts. C'était la première fois que je me retrouvais dans cette tenue face à un homme, la gêne m’envahis et je me cachais à l'aide de mes bras.

  • Pourquoi tu te caches, tu es superbe.

Malgré ça, je n'enlevais pas mes bras, il décida donc de procéder autrement. Il défit la ceinture du peignoir et me l'enleva complètement. J'étais maintenant totalement nue devant lui. Il vint se placer derrière moi, saisi mes poignets et les attacha avec la ceinture. Ce qui me f o r ç a i t à me cambrer et donc, à exposer encore plus ma poitrine. Il revint devant moi et m'observa, apparemment satisfait de ce qu'il voyait.

Il me prit par le bras et me guida à travers l'appartement pour arriver dans sa chambre. Il fouilla dans un tiroir et en sorti un bâillon boule, qu'il plaça entre mes dents.

  • Bien, maintenant on peut jouer. Dit-il avec un sourire qui en disait long.

La pièce était spacieuse, décorée simplement mais avec goût. Le lit était assez grand et la tête de lit avait des barreaux en fer forgé.

«Idéal pour y être attaché, pensai-je.

Les volets étaient fermés, il alluma un halogène près de son bureau et fit en sorte de mettre une lumière tamisée. Face au lit se trouvait une gigantesque armoire sur laquelle il y avait de grands miroirs sur deux des quatre portes qui la composaient. Thomas vint me placer devant ladite armoire et me fit m'agenouiller sur le sol.

Lui aussi se mit à genoux derrière moi. Nous nous regardions indirectement dans les yeux à travers le miroir, il fit courir ses mains sur mes épaules et me massa légèrement la nuque. J'étais tendue, mais l'excitation se faisait de plus en plus grande.

Ses mains descendaient chaque fois plus bas dans mon dos afin de venir caresser mes flancs et finir par remonter lentement vers ma poitrine. Il ne me lâchait pas du regard, et moi non plus. Il prit mes seins fermement en main tout en continuant son massage. Mes tétons étaient devenus durs sous le plaisir que ses caresses me procuraient. Il décida de jouer avec, les pinçant, les faisant passer entre ses doigts.

Le moment était très sensuel, le plaisir avait maintenant prit le dessus sur tout le reste.

Il fit descendre sa main droite sur mon ventre pour venir caresser les haut de mes cuisses, tout en prenant bien soin de venir effleurer mon intimité. A chaque fois, ce contact faisait naître des frissons qui parcouraient mon corps tout entier. Désireuse de plus de plaisir, je le lui fis comprendre en ouvrant mes cuisses. Recevant clairement le message, il ne se fit pas prier. Il caressa langoureusement mon clitoris. J'étais déjà bien humide et apparemment il en était satisfait, en vue du petit sourire qu'il esquissait.

Enfin, il introduisit un premier doigt, rapidement suivi d'un second. Il commença à faire des va-et-vient, d'abord lents, me permettant de bien le ressentir et d'accroître le plaisir déjà bien présent. De son autre main, il délaissa ma poitrine pour venir prendre mon cou et le serrer doucement.

Plaquant son torse contre mon dos, j'ouvris encore plus les jambes pour qu'il puisse accélérer et intensifier ses caresses. Le plaisir était tel que je renversai la tête en arrière sur son épaule. Le bâillon me gênait pour respirer et son étranglement n'arrangeait rien. Mais une chose était sûre, c'est que c'était très stimulant.

L'orgasme était proche, je gémissais de plus en plus, remuant le bassin au rythme de ses caresses. Puis, en une fraction de seconde, ce fut l'explosion. Mon corps tout entier se contracta sous l'effet de la jouissance. Je m'étais bien évidemment déjà procuré du plaisir seule, allant jusqu'à l'orgasme à chaque fois. Mais je n'en avais jamais connu d'aussi puissant.

Il arrêta ses caresses progressivement et lâcha mon cou. Il m'aida à me relever, encore tremblante, et me dirigea vers le lit. Il me fit m'y mettre à genoux, face au mur, donc face à la tête de lit. Il détacha mes poignets, pour n'en garder qu'un, qu'il fixa, toujours à l'aide de la ceinture du peignoir, à ces entrelacs de fer forgé.

Il s'éloigna un instant, fouilla dans le même tiroir que dans lequel il avait prit le bâillon, et en sorti deux cordes, dont une qu'il utilisa pour attacher mon autre poignet. Avec la seconde corde, il attacha mes chevilles l'une à l'autre. J'étais complètement exposée et maîtrisée dans une position qui me dévoilait entièrement. Je trouvais ça terriblement excitant.

Thomas enleva enfin son pantalon, et en vue de l'état dans lequel il était, il devait y être très à l'étroit. Il vint se placer derrière moi, pressant son membre durci contre mes fesses et mes lèvres humides. De ses mains, il caressait mon dos en partant de la chute de reins jusqu'aux épaules. J'étais de nouveau excitée.

Puis il me pénétra, en douceur, pour que tous les deux puissions savourer ce moment. Il s'enfonça aussi profondément qu'il put, puis se retira. Il recommença ce procédé pendant un instant, tout en caressant mon dos. Ensuite, il plaça ses mains sur mes hanches et les tint fermement tout en accélérant ses va-et-vient. Mon excitation était à son paroxysme, mes gémissements se faisaient plus intenses.

Thomas posa une de ses mains sur ma nuque et enfonça ma tête dans l'oreiller pendant quelques secondes pour m'étouffer d'une autre manière. J'étais complètement électrisée sous l'effet de la surprise et de l'excitation. Il recommençait plusieurs fois. Maintenant sa peau claquait contre la mienne, je me cambrais au maximum pour pouvoir le ressentir au plus profond de moi. Il ne fallut pas longtemps pour que nous jouissions tous les deux simultanément.

Il resta en moi un instant. Nous ne bougions plus, tous les deux, le souffle court. Une fois nos esprits retrouvés, il se retira et me détacha. Il alla prendre une douche, et moi, pendant ce temps, je restai allongée sur le lit réalisant à peine ce que je venais de faire. Quand il sortit, il ne portait qu'une serviette blanche autour de la taille. Les cheveux mouillés, quelques gouttes sur le torse, et son regard qui me transperçait… il était encore plus sexy.

Même après ce que nous venions de partager, je le désirais encore. Sans échanger un mot, seulement un regard et un sourire, je pris sa place dans la salle de bain. Je remarquais que les cordes à mon poignet et aux chevilles avaient laissées des marques sur ma peau. Ma main droite était aussi endolorie, réalisant seulement maintenant, que je tenais encore le trousseau de clés qu'il m'avait donné. Effleurer ces marques éveillait une petite douleur, qui stimulait à nouveau mes sens, me forçant à me rappeler ce que nous avions fait et le plaisir que ça m'avait procuré.

Mais il fallait que je me ressaisisse, le week-end ne faisait que commencer. Rien qu'à cette idée, l'excitation refit surface. Je me dépêchais d'entrer sous la douche, laissant l'eau chaude emporter avec elle mon désir naissant. Quand j'en sortis, encore une fois couverte de son peignoir, il était allongé sur le lit et avait remplacé la serviette par un boxer. Je restais debout, face à lui et observant son corps. Il se redressa et me fit signe de venir à ses côtés. Timidement, je l'écoutais. Aucun de nous n'osait parler en premier. Ne sachant pas vraiment quoi dire.

  • Est ce que ça t'a plu ? Demanda-t-il au bout d'un moment. J'espère que pour ta première fois je n'ai pas été trop brutal et que tu as apprécié tout autant que moi.

  • Oui, c'était puissant et terriblement bon. Mais j'espère que tu ne t'es pas retenu à cause de moi.

  • Ne t'inquiètes pas pour ça me dit-il en souriant, j'ai apprécié. Et je suis heureux que tu m'aies fait confiance pour ta première fois

  • J'en avais envie, je voulais que ça soit toi. Je savais que tu me respecterais, peu importe comment ça allait se passer.

Il se contenta de me répondre en souriant de plus belle, et déposa un baiser sur mon front. Puis il s'allongea et s'endormit peu de temps après. J'en déduisais que je pouvais dormir avec lui puisqu'il ne me disait rien à ce sujet.

Je mis plus de temps à trouver le sommeil, ne pouvant m'empêcher de repenser à tout ça. Surtout le sachant à mes côtés, j'entendais sa respiration et voyais son dos bouger à chacune de ses inspirations et expirations. J'avais envie de le toucher, de balader mes mains sur cette peau lisse, de sentir la chaleur de son corps. Mais je ne pouvais pas, je ne savais pas si j'en avais le droit ou non.

Quand je me réveillai, il n'était plus là. Il avait laissé un petit mot sur la table de la cuisine me disant que son patron l'avait appelé pour une urgence et qu'il ne savait pas quand est-ce qu'il serait de retour. Et que par conséquent, je ne devais pas l'attendre. Je décidai donc de déposer ses clés chez le concierge et d'aller en ville pour aller récupérer ma voiture que j'avais abandonnée la veille, non loin du restaurant et ensuite de passer le temps jusqu'à ce qu'il m'envoie un message pour me prévenir quand il rentrerait.

C'est vers 18h qu'il m'annonçai qu'il serait à la maison dans une heure à peu près, j'avais juste le temps de faire 2-3 courses et de préparer le dîner. Il se faisait 19h30 quand il passa la porte d'entrée, apparemment étonné de me voir aux fourneaux.

  • Salut, lui dis-je en souriant, ça va ? T'as passé une bonne journée ? T'arrives justement quand c'est prêt !

  • Salut ! Ma journée à été longue, j'ai bien cru qu'elle ne finirait jamais. Je suis désolé de ne pas t'avoir prévenue, mais je voulais te laisser dormir. Et toi, ta journée ça a été ? Tu ne t'es pas sentie trop seule ?

Il affichait un petit sourire malicieux, il se plaça derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et sa tête sur mon épaule. Sans même attendre ma réponse, il ajouta :

  • Moi, j'ai pensé à toi, me souffla t-il dans l'oreille, j'ai eu envie de toi, et maintenant nous sommes tous les deux.

  • Arrête, Thomas, c'est prêt à manger, lui dis-je en rompant le contact de nos corps pour aller dans le salon. On s'amusera après, sinon ça va refroidir.

J'eus à peine posé le plat sur la table qu'il me prit d'une main par la taille et de l'autre par la gorge.

  • Tant pis, on réchauffera ! C'est toi que je veux manger, et maintenant !

Toujours avec la main sur la gorge il m'entraîna dans sa chambre. Il me lâcha au centre de celle-ci, et me demanda de me déshabiller. J'étais gênée, jamais je ne l'avais fait devant un homme. Voyant que j'hésitais, c'est lui qui le fit. Une fois que j'étais nue, j'eus encore le réflexe de cacher ma poitrine. Elle est très généreuse, pour beaucoup de filles elle serait une fierté, mais je ne l'aimais pas.

Il me fixa, sens rien dire, puis il tira sa chaise de bureau au centre de la pièce, et me fit m'y asseoir. Je ne disais rien, attendant de savoir comment ça allait se dérouler. Ne lui ayant pas répondu tout à l'heure, j'avais effectivement pensé à lui pendant la journée et j'avais attendu son retour avec impatience. Voulant prendre, une autre fois, du plaisir avec lui avant de rentrer chez moi le lendemain.

Il fouilla dans le même tiroir qu'hier soir, et en sortit une fois encore des cordes. Il vint m'attacher les bras dans le dos et les chevilles aux pieds de la chaise. Il retourna près du « tiroir à jouets » pour en sortir un bâillon boule et une cravache qu'il posa sur le bureau. Il ajouta un foulard et s'en servit pour me bander les yeux. Ma vue étant altérée, mes quatre autres sens étaient en éveille, d'autant plus qu'il avait prit soin de me montrer la cravache. Il plaça le bâillon entre mes dents et fit tinter ses clés pour ensuite les glisser dans ma main.

Malgré ce qu'il avait en tête, il considérait le fait que je puisse vouloir arrêter à tout moment. Ça me faisait réellement plaisir. Il aurait très bien pu a b u s e r de ma confiance et me faire ce qu'il voulait sans se préoccuper de comment moi je vivais l'expérience, profitant seul, de son plaisir.

Il tournait maintenant autour de moi, lentement. Il posa la cravache sur ma joue, la fit descendre le long de mon cou, vint caresser ma poitrine généreusement offerte. Il descendit encore, sur mon ventre, mes cuisses, allant de l'intérieur vers l'extérieur et c'est à cet endroit qu'il décida de la faire claquer pour la première fois. Le coup n'avait pas été très violent, mais l'effet de surprise m'arracha un petit gémissement.

Il recommença ses caresses, passant sur l'autre cuisse, me les fit ouvrir, dévoilant ainsi mon intimité. Il asséna un nouveau coup, celui-ci parût plus fort, ou alors c'est parce qu'il avait été donné à l'intérieur de la cuisse, là ou la peau est plus fine et plus sensible. Encore une fois, je laissai échapper un petit gémissement. Je le sentis s'approcher de moi, il posa sa joue contre la mienne et me chuchota à l'oreille :

  • J'aime quand tu gémis ! Fais le encore pour moi !

C'était gênant, et surtout je ne voyais pas l'intérêt de gémir sans raison, sans que rien ne provoque le gémissement en question. Voyant que je n'obéissais pas, il détacha mes chevilles de la chaise, me prit par le bras pour m'aider à me lever et m'entraîna sur le lit, où il me fit m'y mettre à genoux près du bord. Il m'enleva les mains du dos pour me les attacher par devant et me fit me mettre à quatre pattes sur le matelas. Sans attendre, il fit claquer la cravache sur la peau tendue de mes fesses. La surprise et la douleur m'arrachèrent un cri étouffé par le bâillon.

Je n'avais pas obéis à son ordre, j'étais punie. Il continua, passant d'une fesse à l'autre, et de temps en temps il venait claquer le dessous de mes pieds. Il variait aussi l'intensité, ce qui finit par me faire redouter le moindre contact avec la cravache, à tel point que je gémissais même quand il m'effleurait simplement. Puis il stoppa, il me caressa avec ses mains. Ma peau était sensible, des frissons parcouraient mon corps.

Malgré mon châtiment, l'excitation était bien là, il passa ses doigts sur mon clitoris, j'étais déjà humide. Il inséra deux doigts dans mon vagin et commença une série de lents va-et-viens. Désireuse de plus de sensations j'ouvris les cuisses et me cambrai, mais il retira ses doigts. Geste qui me fit gémir de frustration. Je l'entendis rire doucement, ça devait être la réaction souhaitée et il en était satisfait.

L'instant d'après, je le sentis déposer des baisers sur mes fesses, il y faisait également jouer ses dents, mordillant ma peau encore sensible. Ce qui ne manqua pas de me faire frissonner. Puis il passa sa langue sur mes petites lèves humide. Sensation toute nouvelle pour moi, et c'était terriblement bon. Il léchait et suçait mon clitoris, insérait sa langue dans mon vagin. Je tremblais de plaisir, il continua ce petit jeu jusqu'à ce que je jouisse.

Une fois que ce fut chose faite, je l'entendis défaire sa ceinture et il posa son membre bien dur à l'entrée de mon intimité, se servant de ma jouissance comme lubrifiant. Puis il me pénétra, lentement et de tout son long, se retirant complètement pour revenir s'enfoncer le plus profondément possible. Je gémis de plaisir, il prit fermement mes hanches et s'en servit d'appuis pour accélérer la cadence, mais petits cris étouffés se faisaient également plus rapides et forts.

D'une main, il tira sur le bout de tissu qui bandait mes yeux pour me faire me redresser. Il tira ma tête en arrière, plaqua son torse contre mon dos, posa une main sur ma poitrine et l'autre sur mon cou, me privant ainsi d'une bonne respiration. Mes mains étaient toujours attachées mais je venais me caresser et stimuler mon clitoris. Le rythme était intense, en peu de temps, l'orgasme nous submergeait.

Nous restâmes un instant, l'un dans l'autre, afin de pleinement savourer ce moment. Il se retira et me libéra de toutes mes entraves.

  • J'ai encore faim, me dit il en se rhabillant. Allons manger ce que tu nous as préparé. Mais aussi bon que ça puisse être, ça ne sera pas aussi délicieux que toi. Ajouta-t-il en rigolant.

Certes, ce qu'il venait de dire était assez kitch, mais c'était mignon. Cela prouvait une nouvelle fois qu'il avait apprécié, et j'en était très satisfaite. Il a fallut que je prenne énormément sur moi pour enfin me lancer dans cette aventure. Même sur la route pour le rejoindre, je doutais de pouvoir le faire, de pouvoir prendre du plaisir et encore plus de lui donner du plaisir à lui. De pouvoir l'exciter et d'être désirée malgré mon physique que je trouvais repoussant.

La fin de soirée avait été bonne, on avait mangé et regardé un film. Une fois douchés, on s'était couché, sans rien faire d'autre. Mais je n'en ressentais pas le besoin, j'étais sereine, comme je ne l'avais sans doute jamais été. Je décidais de partir le lendemain en début d'après midi, il m'accompagna jusqu'à ma voiture.

  • J'ai adoré notre petit weekend, me confia t-il.

  • Idem pour moi, lui répondis-je, je ne pouvais pas espérer mieux pour ma première fois. Tu as été parfait, merci beaucoup, pour tout.

  • Et j'espère que ça ne sera pas ta dernière !

  • Ne t'en fais pas, je compte bien remettre ça ! Il y a encore quelques trucs que j'aimerais tester !

  • J'espère que tu penseras à moi dans ce cas !

  • Comptes sur moi ! Aller, comme d'hab' on se voit sur Mon blog ! Lui dis-je en me penchant vers lui pour lui faire la bise.

Mais il en avait décidé autrement, de ses deux mains il prit mon visage et déposa un baiser sur mes lèvres. Ne m'y attendant pas le moins du monde, je ne réagis pas. Ça le fit rire, et sans rien ajouter, il se détourna en me faisant au-revoir de la main. Son geste ne me laissait pas indifférente, comment est ce que je devais l'interpréter ? Qu'est ce que ça voulait dire ?

Ces questions me tourmentèrent jusqu'à ce que j'arrive chez moi. Le retour à la vie normale était ennuyeux. Nous continuâmes à discuter ensemble de tout et de rien pendant la semaine qui suivit, le jeudi, il me demanda si je pouvais revenir pour le weekend. Mais j'étais au regret de devoir lui dire non, je devais le passer chez mes parents. Nous étions tous les deux un peu déçu, j'aurais adoré le passer avec lui, mais il nous fallait attendre le week-end suivant.

Je repensais très souvent à tout ce que nous avons fait. Et je trouvais qu'il s'était essentiellement axé sur mon plaisir. Évidemment il en avait éprouvé lui aussi, mais je pense qu'il ne voulait pas m'imposer certaines choses pour cette première fois.

C'est alors qu'il me vint une idée. La prochaine fois que nous nous verrons, c'est moi qui prendrais les commandes et qui m'occuperais de lui. Nous avions déjà abordé ce sujet, comme quoi il ne serait pas contre le fait d'être dominé de temps à autres par une femme.

C'était décidé, pour notre prochaine fois, je ferais en sorte à ce qu'il prennent son pied au moins autant que moi j'ai pris le mien.

Il fallait que je me fasse un minimum belle pour lui, j'allais donc investir dans des sous-vêtements sexy. J'avais hâte d'être à ce fameux week-end.

PRÉCISION DU WEBMASTER

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